Après 6 nouveaux décès aujourd'hui au méxique, l'arabie saoudite comptabilise sont premier cas de grippe A. Le virus se propage de plus en plus à travers le monde. Les experts de l'Oms ne sont pas tous daccord pour passer tout de suite au niveau d'alerte 6.

Cependant ils sont d'accord sur 2 choses: la pandémie au niveau 6 est innévitable et que c'est pour bientôt.

Grace au chiffre mis à disposition du public par l'invs, l'institut de veille sanitaire voici les derniers chiffres de la  situation internationale au 03/06/2009

La grippe A(H1N1) (initialement appelée grippe porcine par l’Organisation mondiale de la santé^[13]) est une maladie respiratoire aigüe contagieuse provoquée par l’un des quelques virus de la grippe A, l’Influenzavirus A sous-type H1N1, réapparue en 2009 sous une forme génétique nouvelle transmissible d’homme à homme. Cette grippe a également été nommée, par différentes institutions internationales, grippe nord-américaine^[14], grippe mexicaine^[15] ou grippe nouvelleavant que l’OMS ne recommande le nom de grippe A(H1N1) le 30 avril 2009.

Ce nouveau virus grippal, contenant des gènes de plusieurs virus connus d’origine porcine, aviaire et humaine^[19], est un virus réassorti. Aucun vaccin n’existe contre cette souche^[21] et les scientifiques de l’OMS ignorent si les vaccins existants contre la grippe saisonnière peuvent conférer une protection. Les personnes présentant les symptômes de la grippe A(H1N1) sont traités actuellement avec des inhibiteurs de la neuraminidase des virus grippaux tels l’oseltamivir ou le zanamivir^[22].

Dans certaines régions du Mexique, la propagation de la grippe A(H1N1) est de nature épidémique^[23]. Dans le reste du monde, le nombre de personnes atteintes est trop faible pour que ce terme soit adapté. Si le nombre de malades est minime pour une grippe, le nombre de pays touchés est non négligeable : une quarantaine au 20 mai 2009 dont la France.

L’autre facteur important, pour mesurer la dangerosité d’une maladie, est sa létalité, c’est-à-dire la proportion de morts parmi les personnes touchées.

La nature de la grippe n’est pas l’unique facteur de létalité. Le degré d’avancement en termes de sécurité sanitaire du pays est un facteur déterminant. M. Chan, Directrice générale de l’OMS, précise : « L’expérience passée nous montre que la grippe peut provoquer une affection bénigne dans les pays riches mais une maladie plus sévère avec un taux de létalité plus élevé dans les pays en développement. » Cette règle semble s’appliquer à la grippe A(H1N1).

Un journaliste du Nouvel Observateur, M. de Pracontal, note que : « les patients nord-américains ou européens ont souffert de troubles modérés, ne mettant pas leur vie en péril. Et ils ont récupéré sans problème», contrairement au Mexique. La menace que représente la maladie, particulièrement pour les pays moins riches, justifie du passage à la phase 5 du niveau d’alerte de risque de pandémie grippale.

Cet état d’alerte est décrété lorsque l’existence d’une contamination entre deux humains dans au moins deux pays de l’OMS est avérée et qu’il existe une menace de pandémie imminente. Elle indique les mesures à prendre par les pays.

Se protéger

Se protéger, sans pourtant plonger dans une psychose inutile, dangereuse et couteuse.

            inutile car en Europe et surtout en France nous sommes très bien préparé à la menace présentée par la grippe.

Des procédures médicales sont prévues, du matériel de protection à notre disposition :

Près d’ 1 milliard de masques et plus de 30 millions de doses d’anti viraux «Tamiflu » et ce rien que sur notre territoire.

Donc, inutile de paniquer si la grippe vous guette. Se laver les mains plusieurs fois par jour et éternuer dans un mouchoir suffit pour protéger ses proches. Bien sur, il faut consulter votre médecins.

Dangereuse la panique, car certaines personnes on déjà acheté du Tamiflu ou plutôt un semblant de Tamiflu, l’utiliser sans avoir la grippe porcine est totalement inutiles et ne fera en plus aucun effet une fois la grippe attrapé.

En outre, la quasi-totalité des Tamiflu en vente sur internet ne son pas au bon dosage ce qui est potentiellement dangereux. Car les grippes essayent toujours de résister et de s’adapter.

Si une personne se vaccine avec un Tamiflu peut dosé, en faisant cela, vous facilitez la tache à la grippe porcine et donc sa résistance et vous participez à créer une souche de grippe encore plus difficile à soigner.

Couteuse, car les doses de pseudo Tamiflu vendu sur internet sont vendu extrément cher, alors que si une grippe vous conduit à l’hôpital vous serez soigner gratuitement.

Enfin, se protéger c’est aussi écouter les autorités sanitaires Française et Européenne Si ils décident un jour  de limiter les sorties de nos domiciles, alors il faut respecté cet interdit.

Il est donc facile de se protéger et difficile d’attraper la grippe.

Pour plus d'information nous vous invitons à vous rendre sur c'est site:

http://www.invs.sante.fr/index.asp

http://www.pandemie-grippale.gouv.fr/

Réaction de la bourse

Comme un drapeau au sommet d’un mat, la bourse frétille à chaque mouvement de vent.

Il est probable que cette alerte à la pandémie qui a ralenti voir supprimer des vol internationaux au mois d'Avril et réduit les importation mexicaine voir bientôt américaine agisse sur les courts de la bourse.

Mais quand est-il vraiment ?

Ici la réponse suivie et mise à jour régulièrement.

La grippe mexicaine a ses valeurs

"Le groupe pharmaceutique Roche s'est dit prêt à expédier son médicament antiviral Tamiflu dans le monde, mais n'a pas encore reçu de demande de la part d'organisations ou d'Etats, a indiqué lundi une porte-parole du laboratoire bâlois", nous explique ce matin une dépèche de l'AFP. On en sera sans doute plus demain matin en allant à la conférence de presse, dans un grand hotel parisien, du groupe pharmaceutique. En attendant, le cours du fabricant du Tamiflu a commençé à décoller. Bonne opportunité aussi que celle d'Eurofins, spécialiste français de la "tracabilité" ou de Sperian Protection (ex-Bacou Dalloz), gros producteur de masques de protection comme ceux qu'on voit à la télé. A l'inverse, Oddo nous rappelle ce matin qu'il faut rester à l'écart de Fleury Michon, même si à la même télé on répète en boucle que manger du cochon n'est pas dangereux. En bourse, il faut être rationnel en anticipant l'irrationnel. Il n'est pas trop tard pour prendre ses positons "spécial pandémie", même si la baisse subite des compagnies aériennes, aéroports et secteur du tourisme est excessive . Pour ceux qui sont choqués par ce type de comportement et de propos cyniques, amoraux et scandaleux alors que l'on souffre au Mexique, on recommandera de mettre à profit la lecture de la nouvelle édition du "Capitalisme est-il moral" d'André Comte Sponville. Ou d'acheter du Club Med, qui, lui, a trouvé mieux et plus moral que le Tamiflu pour remonter la pente: le Nanard.

Article du magazine Challenge du 27/04/2009 pour le lire entièrement :

http://bourse.blogs.challenges.fr/archive/2009/04/27/la-grippe-mexicaine-a-ses-valeurs.html

 

La Bourse de Paris baisse, la grippe porcine pèse sur les secteurs du voyage

La Bourse de Paris était en nette baisse lundi après-midi, le CAC 40 cédant 1,31%, plombé par les valeurs des secteurs aérien et du tourisme, premières victimes économiques de la grippe porcine.

A 15H42 (13H42 GMT), l'indice vedette cédait 40,60 points à 3.062,25 points, dans un volume d'échanges de 1,299 milliard d'euros.

Wall Street a ouvert en baisse: à 15H48, le Dow Jones perdait 0,66% et le Nasdaq 0,78%.

Les marchés étaient sous pression alors que la grippe porcine aurait fait déjà plus de 100 morts au Mexique. Les Etats-Unis et le Canada sont aussi touchés et plusieurs pays, dont la France, ont fait état de cas suspects.

Les titres des compagnies aériennes, aéroports, voyagistes étaient en première ligne, les investisseurs craignant que touristes et hommes d'affaires n'annulent leur déplacement.

Bruxelles appelle d'ailleurs les Européens à éviter les déplacements non indispensables dans les zones affectées et annonce la tenue d'une réunion extraordinaire jeudi.

Air France-KLM plongeait de 7,78% à 8,28 euros, ADP de 5,57% à 42,35 euros, Accor 4,25% à 31,29 euros et le groupe de restauration collective et de services aux entreprises Sodexo 2,72% à 36,12 euros.

Les valeurs pharmaceutiques profitaient, elles, d'une telle situation à l'image de Sanofi-Aventis (+1,95% à 41,50 euros).

 

Pour lire l'article en entier :

http://www.francebourse.com/fiche_news_43346.fb

Il y a-t-il un vaccin ?

Depuis la mise en  l’alerte de niveau 5 qui en conte 6 sur les risques de pandémie du 29 avril, Le processus qui amène vers la production à grande échelle  d’un vaccin est enclenchée.

A présent, le virus H1N1 ou « Mexicain » est sur toute la planète, il peut probablement frapper n’importe ou sur terre. La fabrication doit alors commencer, mais pour fabriquer un vaccin il faut d’abord avoir la bonne souche du virus. Elle est probablement, selon les experts de l’OMS, au Mexique.

Mais cependant, maintenant nombreux sont les pays dotés de laboratoire ultra moderne comme le CDC aux Etats Unis qui commence à obtenir de la matière grippale suffisante pour travailler sur un vaccin.

Mais pour le moment, les industriels de la santé ne peuvent que préparer leur production. Mais ne pas commencer.

Mais une fois la bonne souche aux mains des scientifiques, avant de pouvoir lancer la production les chercheurs doivent, entre autres faire des tests sur des embryions d’œufs de poules. Et il en faut des milliards pour tester et fabriquer un vaccin totalement viable.

Cela prend au minimum  4 mois pour faire tout cela. Et cela, je vous le rappel n’a pas encore commencé.

Mais il existe un plus grave problème encore, il y a sur terre que 5 industriels capables de produire un vaccin à grande échelle et nous somme 6 milliards sur la terre.

Sachant qu’il faut 2 doses par personnes. Il nous faut donc produire douze milliard de doses.

Les industriels mondiaux, selon leur propre estimation, ne pourront pas produire plus 500 000 millions de doses, soit pouvoir vacciner que 250 millions de personnes.

Tout le monde sur notre planète, en cas d’une forte pandémie, ne pourra être vacciné.

Imaginons un instant que la grippe porcine atteint l’Afrique central, se sera alors une véritable hécatombe.

Quel est l’européen ou américain capable de laisser sa dose à un africain ?

Mais comme si tout cela ne suffisait pas, sachez que les industriels ne peuvent pas fabriquer plusieurs sortent de vaccin à la fois.

Cela veux dire que dans les jours et semaines qui viennent, ils vont devoir choisir entre produit un vaccin pour lutter contre une probable pandémie et donc peut-être si elle a lieu de sauver des millions de personnes et ne pas produire de vaccin de grippe traditionnel qui malgré sa présence tu 3 000 personnes par an en France. Et + de 300 000 à travers le monde.

Et si ils décident de faire l’inverse, produire pour la grippe traditionnel et non pour la grippe porcine et qu’il y a une pandémie. Nous serons alors tous spectateurs de la crise sanitaire la plus spectaculaire de notre époque.

Peut-être pas meurtrière et assassine en Europe, mais dévastatrice dans tout les pays pauvre ou avec peu de moyen. Ce qui d’une manière ou d’une autre nous impactera quand même.

Un choix, un dilemme terrible qui se négocie actuellement à l’OMS et dans les ministères de la santé des plus grandes capital la planète.

On va tout vous dire.fr

Grippe A (H1N1) : les grandes entreprises se préparent, pas les autres

En cas de pandémie grippale, les entreprises et administrations pourraient se trouver en butte à des records d'absentéisme, atteignant voire dépassant 40%. Mise en place d'une cellule de veille sanitaire, élaboration de stratégies pour la poursuite de l'activité, constitution de stocks de masques chaque entreprise anticipe au mieux. Les plus grandes en tout cas.

Chez le constructeur automobile PSA par exemple, le premier « plan pandémie » date de 2006. « Nous avons une stratégie de gestion du risque sanitaire dans sa globalité », nous-a-t-on assuré au service médical. « Nous nous préoccupons donc du virus H1N1 mais aussi de l'ensemble des risques infectieux qu'il peut y avoir sur la planète ».

Concernant la grippe A (H1N1), « nous avons mis en place une gradation du risque en fonction de la situation de chaque pays. Chaque déplacement d'un collaborateur dans une zone à risque est ainsi évalué. Nous sommes en conformité avec les recommandations des autorités françaises ».

Celles-ci ont en effet établi un plan gouvernemental « pandémie grippale », comportant des recommandations aux entreprises. Il y est question « d'évaluation des ressources humaines nécessaires au maintien des activités indispensables », de mesures « pour protéger la santé des salariés (organisation du travail en temps de crise, mesures d'hygiène, port de masques) », et encore d'identification « des activités qui doivent être assurées en toutes circonstances et de celles qui doivent être différées ».

« Ne rien faire va coûter cher »

En théorie, chaque entreprise doit se doter d'une cellule de veille sanitaire. C'est le cas chez Anios (450 personnes), spécialisée dans les produits de désinfection. « Nous avons mis en place des procédures qui évoluent au rythme des niveaux d'alerte », nous explique Jacques Criquelion, le directeur scientifique. « Par ailleurs, un certain nombre de nos collaborateurs sont formés pour être multi-opérateurs, prêts à travailler à effectifs réduits. Néanmoins, si plu... Lire la suite sur DestinationSante.com

Un premier cas de grippe A (H1N1) en Arabie Saoudite, deux nouveaux décès aux Etats-Unis

Alors que l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) annonce ce matin 1 863 nouveaux cas de grippe A (H1N1) dans le monde, c'est au tour de l'Arabie Saoudite d'enregistrer son premier cas. Il s'agit d'une infirmière de nationalité philippine qui rentrait d'un séjour dans son pays. Après Bahreïn, l'Egypte, le Koweït et le Liban, le Royaume saoudien est le 5ème pays arabe à être infecté.

Selon le dernier point de situation de l'OMS établi à 6h00 GMT ce mercredi 3 juin, 19 273 personnes ont déjà été touchées dans 66 pays, et 117 ont succombé. Comme depuis plus d'un mois, ce sont les Etats-Unis qui demeurent le principal foyer d'infection, avec 10 053 malades. Soit 1 078 cas de plus qu'hier, à la même heure. Deux décès supplémentaires ont également été signalés, portant à 17 le nombre des cas mortels dans le pays.

Au canada aussi, le virus se montre de plus en plus menaçant. Ottawa rapporte 194 nouveaux cas ces dernières 24 heures, ce qui porte à 1 530 le nombre de personnes ayant déjà contracté la maladie. Aucun décès n'a en revanche été observé.

La bonne nouvelle nous vient du Mexique où aucun nouveau cas n'a été notifié aujourd'hui. Le pays est en pleine convalescence après un mois de lutte sans répit contre le virus A (H1N1), qui a déjà fait 5 029 victimes parmi lesquelles 97 n'ont pas survécu.

Enfin, signalons que les experts de l'OMS n'arrivent toujours pas à tomber d'accord sur le passage à la phase 6 (sur une échelle de 6) du Plan Pandémie, même si tout semble converger vers une hausse du niveau d'alerte. « Nous sommes encore en phase 5 mais nous nous approchons sérieusement de la phase 6 car il est évident que le nouveau virus grippal continue de se répandre » concluait hier lors d'un point presse le Dr Keiji Fukuda, directeur-général adjoint de l'OMS. Il faut dire que cela fait près de trois semaines que l'OMS annonce un passage imminent à la phase 6
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42 cas confirmés en France dont un lié à une transmission "secondaire"

L'Institut de veille sanitaire (InVS) a annoncé mardi un total de 42 cas de grippe H1N1 en France, dont pour la première fois un est lié à une transmission "secondaire" chez une personne n'ayant pas voyagé, mais ayant été en contact avec un cas confirmé de retour des États-Unis. Il s'agit d'une jeune femme de la région Poitou-Charentes, selon un communiqué de l'InVS.

D'après Daniel Lévy-Bruhl, épidémiologiste à l'Invs, cette transmission secondaire était toutefois "tout à fait attendue" et "n'est pas inquiétante". "Ce qui est presque étonnant, c'est de n'avoir jusqu'à maintenant identifié aucun cas secondaire", a-t-il souligné, jugeant que "c'est normal qu'une personne contamine son entourage proche, le temps qu'elle s'identifie comme un cas possible". "Tant qu'on peut remonter la chaîne, on n'est pas inquiet", a indiqué l'épidémiologiste. Le problème, c'est "si on avait raté des maillons de la chaîne" et qu'il y ait transmission communautaire, c'est-à-dire "des cas chez des gens sans lien avec quelqu'un qui revienne d'une zone infectée". Or, les 41 autres cas sont tous "importés" (11 du Mexique, 25 des États-Unis, 2 du Canada et 3 de république Dominicaine). Des 42 cas, 21 sont situés en Ile-de-France. 18 des 42 cas sont hospitalisés. De plus, 17 autres cas sont en cours d'investigation. "Aucune forme sévère n'a été observée", a détaillé l'Invs.

Depuis le début de l'épidémie, les autorités sanitaires ont multiplié les messages de prévention sur le lavage des mains ou l'utilisation de mouchoirs en papier pour éviter justement la contamination de personnes saines par une personne contaminée à l'étranger. Elles ont demandé aussi aux personnes malades de ne pas se rendre aux urgences ni dans un cabinet médical, pour éviter de propager le virus.... lire la suite de l'article sur Lepoint.fr

          Ici, vous trouverez la carte de France des cas avérés de contamination et des personnes misent en quarantaine ou en observation pour analyse.

Nous la mettrons à jours toutes les 24h.

Mise à jours du 03 juin 2009. (infos InVs)

Pour information complémenaire les cas rapportés de Grippe A sont :

11 du Mexique.

27 des Etats-Unis.

2 du Canada.

3 de la République Dominicaine.

1 premier cas secondaire : Contact d’un cas confirmé venant des USA.

Pour plus de détails:

17 cas supplémentaires sont considérés comme probables. (Source Wikipédia)

Pandémie dangereuse ou simple grippe qui par un triste hasard biologique s"emballe et fait parlé d'elle?

On va tout vous dire va au fils des jours vous informer sur l'épidémie grippale mondial qui progresse.

Nous allons vous expliquer son mécanisme de propagation. Cartographier son évolution sur le territoire Français et Européen.

Vous allez découvrir ou redécouvrir les consignes de sécurité sanitaires prodiguées par l'oms ou notre ministère de la santé.

Vous apprendrez qu'il ne faut pas céder à la panique, mais juste rester informer car le danger est réèl.

Situation en direct, vérité, état des lieux général de la pandémie c'est uniquement sur On va tout vous dire . com